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Une marche en raquettes [2]

  • Valentine B.
  • 4 mars 2016
  • 2 min de lecture

A vrai dire pour cette seconde marche, qui eu lieu le lendemain, nous n'avons pas utilisé de raquettes. Je garde pour autant cet intitulé car le tracé que nous avons suivi est celui indiqué dans les promenades en raquettes, vous le trouverez donc plus facilement. C'est aussi en ce lieu que se trouve le point de rendez-vous pour les promenades en traîneaux. Si cela vous intéresse, pensez à réserver bien à l'avance car il n'y a qu'un endroit pour le faire sur la station, et les places partent vite. Le départ se fait depuis l'espace nordique de Champs Lacas, accessible en voiture (présence d'un parking) ou en Navette. On se trouve donc plongé dans une prairie couverte d'un manteau de neige avec, en face, une magnifique vue sur les sommets environnants. S'ajoute à ce côté envoûtant et apaisant, une possible rencontre avec les chiens de traîneaux, qui renforce cette belle ambiance. Ensuite c'est très simple, il y a régulièrement des panneaux indiquant le chemin à emprunter. Au bout d'un certain temps, vous aurez la possibilité de vous rendre au hameau des Ribes ou de rester sur le chemin qui suit une boucle. C'est cette option que nous avons choisit de suivre. Une fois la plaine traversée, le sentier reprend une forme plus forestière en passant à nouveau au dessus d'une petite rivière et sous l'ombrage des arbres.

A la fin du parcours, deux choix s'offrent à nouveau à vous : d'un côté le sentier rejoint la station des Orres 1650 tandis que de l'autre, il est possible de redescendre vers le point de départ grâce au sentier passant sous le télésiège. Ce fut véritablement un moment de détente intense. Malgré l'effort de la marche dans la neige, j'avais l'impression d'être dans une bulle, le temps suspendu, avec une atmosphère paisible et pour seul bruit de fond, celui de mes pieds qui s'enfonçaient dans la neige... J'ai adoré faire cette balade, tout autant que la première, mais celle-ci était plus longue et donc l'immersion dans ce paradis blanc était bien plus prégnante.

"Je m'en irai dormir dans le paradis blanc Où les nuits sont si longues qu'on en oublie le temps Tout seul avec le vent Comme dans mes rêves d'enfant" - Michel Berger, Le Paradis Blanc

© 2014 - 2016  Instants d'évasion - Valentine Bottagisi

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